Ethiopie
intensité

Moka Anfilloo Highlands

PRIX AU KILO : 26.65

Ce café montagneux pousse au cœur de la forêt d’Anfilloo à +1 800m d’altitude. Riche en biodiversité, elle accueil des espèces rares comme le « PRUNUS AFRICANA » qui peut atteindre 40m de hauteur, son feuillage persistant apporte l’ombrage nécessaire aux caféiers sauvages. Ce café complexe qui exhale des notes fleuries, d’orange, de mangue accompagnée d’une texture soyeuse avec une pointe d’épice, de miel et de cacao en fin de bouche. Un café SUAVE, FRUITÉ, avec une touche de MIEL.

Variété
Arabica moka
Fruité, Miellé
Lavé
Effacer
Conservation
En savoir plus

Un café moulu est à conserver idéalement à l’abri de la lumière et de la chaleur, dans un contenant hermétique et à consommer dans le mois pour ne pas perdre sa saveur. On peut le placer au réfrigérateur, dans le sachet Le Caféier fermé par zip ou dans une boite en aluminium hermétique (on évite le plastique qui absorbe les arômes).

ARABICA

Tout d’abord, l’Arabica est l’espèce de caféier la plus répandue au monde. Pour vous donner une idée, il représente aujourd’hui 65% de la production mondiale de café. Cette espèce est cultivée en altitude sur les hauts plateaux.

  • Riche en arômes
  • Finesse gustative particulièrement appréciée des « gourmets »
  • Notes acidulées et moins amères
  • Teneur en caféine faible (entre 0,8 et 1,3%)

A contrario d’un café Robusta, un café Arabica vous offrira avant tout une tasse nettement plus aromatique et fine en bouche.

Dans l’espèce Arabica, il existe plusieurs variétés ou cultivars. La première est certainement la variété Moka. Aussi appelée Ethiopian, cette variété n’a subit aucune transformation et reste la même depuis sa découverte dans les forêts éthiopiennes. La date de cette découverte est mystérieuse et inconnue si on ne prête pas attention à de nombreuses légendes la situant entre les Xème et XIIIème siècles. Toutefois, l’un des faits avérés est le monopole imposé par les Yéménites sur l’exportation de ce café autour des XII-XIIIèmes siècles. A cette période, après avoir replanté des caféiers éthiopiens au Yémen, ils exportent le café torréfié de telle façon qu’il ne puisse à son tour être replanté. La variété tire ainsi son nom de Mocca, le plus ancien port d’exportation pour le café au Yémen.

MÉTHODE HUMIDE POUR UN CAFÉ LAVÉ

Cette méthode est considérée comme la plus noble (mais tout est histoire de goût).
Dans ce process, les cerises de café sont dépulpées dans les 12 heures maximum après la récolte, afin de séparer la pulpe des grains. Ces grains ont encore leur mucilage, petite peau sucrée enveloppant la graine de café. Ils sont ensuite mis en fermentation dans des bacs de lavage, et brassés entre 12 et 36 heures. Après cette période de fermentation, les cerises sont mises au séchage selon trois méthodes : séchage dans un grand four à air chaud, séchage sur étendue de béton ou séchage sur « lit africain ». Après le séchage, les cafés verts sont calibrés, pesés et conditionnés…ils sont prêts pour l’exportation !
Un café lavé se reconnaît par sa couleur plutôt homogène, bleu/vert. Côté gustatif, vous aurez en tasse un café fin, subtil et aromatique doté le plus souvent d’une belle acidité. 
Le seul bémol de cette méthode réside dans la grande consommation d’eau nécessaire (50 à 100L d’eau pour 1kg de café vert). Les producteurs utilisant cette méthode ont besoin d’une station d’épuration dans les environs pour recycler l’eau utilisée.
Cette méthode est utilisée en Colombie, Amérique Centrale, Afrique de l’Est, Amérique du Sud, Antilles et Océanie.

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